Page blanche...
Rien à dire,
Aucun sens,
Rien à écrire,
Il n'y a qu'un silence
Il n'y a qu'une abscence
Ou bien pire...
Comme une inexistence
En instance en de devenir,
La fin de quelque chose.
L'immaculée broie du noir
Et les mots laissent leur âme en dépôt.
L'innoncence résiste
Jusqu'au bout du stylo,
Quleques blancheurs persistent,
Donnant le sens de ces idiots.
Ainsi en va t'il du drâme de la page blanche...
merci à vous.